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La fête au(x) château(x) – Pour sa première édition, l’ASBL Horizon fait très fort !
Du 19 au 26 juin 2022, « La fête au(x) Château(x) va mettre en évidence le patrimoine architectural wallon, en mettant l’accent sur la commune d’Yvoir et les alentours.
Dans des lieux magnifiques et chargés d’histoire, vous pourrez découvrir des musiques anciennes et du monde, du théâtre, de la danse, des ateliers pour enfants, des expositions et beaucoup d’animations pour petits et grands.
Le 21 juin, à l’occasion des concerts au Château de Spontin, le Chemin de Fer du Bocq s’associe à l’ASBL Horizon pour vous offrir un voyage dans le temps et l’espace grâce à nos tickets combinés comprenant
Votre ticket combiné vous offre :
Pour infos : le Château de Spontin se situe à 50 mètres de la gare de Spontin. Soyez prudent en traversant la route !
Le Quatuor Arsen Petrosyan joue de la musique classique traditionnelle et sacrée arménienne, qui couvre différentes époques et genres dans la chronologie historique de l’Arménie. Les instruments utilisés sont Duduk, Santur, Qanun, Percussion.
Le programme comprend de la musique de Grigor Narekatsi (10ème siècle), Simeon Yerevansi (18ème siècle), Sayat-Nova (18ème siècle), Komitas (20ème siècle) entre autres.
Le concert présenté au festival “La fête au Château” est basé sur notre nouvel album “Hokin Janapar”. Il comprendra également un hommage à un de leur illustre compatriote : Charles Aznavour
Crédits : https://bleuhorizon.be/le-quatuor-arsen-petrosyan/
La musique d’A FILETTA est une traversée… On pourrait dire qu’il s’agit d’une proposition vocale polyphonique contemporaine exigeante, audacieuse, issue d’une puissante tradition orale.
C’est en 1978 que de très jeunes gens, mus par une volonté farouche de contribuer à la sauvegarde d’un patrimoine oral en plein déclin, se sont mis en route… et leur route aura été longue, parfois sinueuse mais jalonnée de découvertes et de rencontres exceptionnelles. Les chanteurs avouent d’ailleurs volontiers que « la rencontre » est inscrite dans leur ADN musical.
Leur répertoire comporte des chants sacrés ou profanes aux influences diverses, des musiques de film de Bruno Coulais, des compositions pour des chorégraphies de Sidi Larbi Cherkaoui, des extraits du chœur d’une tragédie antique ou encore des pièces issues d’un requiem commandé par le festival de Saint-Denis.
Une musique au service d’une vision du monde rejetant sans ambiguïté tout repli identitaire et dont la philosophie pourrait se résumer à ce bel aphorisme de René Char : « Les plus pures récoltes sont semées dans un sol qui n’existe pas ; elles éliminent la gratitude et ne doivent qu’au printemps ».